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Poésie

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SANDRO (auteur)

« L’homme est le seul animal à se soumettre à des phénomènes, qui n’existent pas. »

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« La musique alimente le système cérébral d’un pouvoir inébranlable »

La pulpe sucrée de tes baisers caresse mon âme par le parfum de ta beauté, ta bouche en feux donne le frisson sur mon cœur et mon corps, tes yeux sont des étoiles magiques aux couleurs du ciel bleu, mes désirs inavoués se plongent dans l’océan bleu azur de tes murmures, dans l’aurore qui s’éveille sur mon corps.
 





Hier comme hier, je serai ton écuyer.
Je serais larbin, tu serais princesse, je serais ton prince, tu serais ma cavalière.
Je serai fier de t’ouvrir les barrières du cimetière qui nous enferme pour repartir à Cythère.
Sur ton cheval blanc comme hier, quel prestige, la beauté de ta lumière pour m’emmener.
Dans nos alcôves, où pour la première fois il neige.
À Cythère se reflètent les rayons du soleil sur le blanc neigeux de tes yeux majestueux.
Tout est lumineux comme hier, un songe bleu habillé de blanc nous transporte amoureux jusqu’aux cieux, la neige éternelle accompagne nos vœux en nuages romantiques dans ce beau ciel merveilleux.
 
 
Cette nuit, une lumière céleste m’est apparue en fixant le beau rayon lumineux de la beauté de tes yeux, puis toucher en plein cœur par ta grâce.
Merveilleuse et heureuse. Un bonheur absolu, incongru que j’étouffe par mille feux, par mille fois le moindre son de ma voix pour entendre le souffle chaud si doux de ta bouche, comme une touche de miel soyeux sur cette mélodie angélique. Magnifique ce baiser que tu m’as pris, pour mon plaisir, ce baiser que je t’ai rendu.
Les étoiles autour de nous, dans le velours du noir qu’est notre alcôve nocturne, l’air ambiant nous caressent de l’espoir d’éclairer sur les ombres de la nuit nos deux astres en étoiles scintillantes, habillées de blancs éclairs sans orages en étoiles filantes pour mélanger nos deux âmes dans un tourbillon sensuel et mystique, la magie pleine de grâce au céleste éternel où Hathor
Nous reçoit avec joie dans ses bras pour célébrer le mariage de l’amour et de la musique, sans trahir le mélange de nos cœurs, pour toujours.
 
 
Cette vague de chaleur qui tressaille sur le bas de ton ventre
Tes doigts qui grattent le frisson sur mon dos
C’est comme un glaçon qui flotte sur l’eau de ta bouche pimpante, soufflant les vagues.
En fracas sur les rochers, moi j’accoste en urgence sur tes îlots sans passeport et sans passe-droit.
Je reste droit comme un marin à la barre exotique de tes seins, tu me fais boire la dernière tasse.
Du divin jusqu’aux abysses de tes reins, sans artifices, sans secours, je plonge sans les sirènes.
Au fond de ton sublime jardin de perles d’argent pour y découvrir l’Atlantide de nymphes merveilleuses, qui, dans tes yeux, me réclame de descendre plus bas avec elles dans leurs cieux si profonds.
Dans un toboggan d’étoiles sucrées au sorbet citron
Sans serpents ni venins, je croque ta pomme d’amour.
Jusqu’aux sables mouvants de ton âme féconde et vagabonde, comme une bombe, tu exploses, t’extases sur moi.
D’une féroce véhémence, en puissance, je tisse ma toile et referme avec force mon ardeur sur ton cœur.
mes feux amoureux eurent raison de ton audace.
Je m’effondre de bonheur sur ton cœur de Vénus amoureuse.
 
Les nuages qui grondent dans le ciel rouge de vos yeux qui me chassent et pestent mes faveurs.
Sans rancœur sur mon cœur, boudant d’êtres sur le fil prédateur de la toile d’araignée.
Comme un Roméo perdant sa Juliette, comme un chien de faïence, un Apollon à qui l’on dit Non.
Un bel ami soumis à vos lois et humeurs. Jean de Nivelle qui pleure votre cœur, le bonheur d’obtenir vos faveurs.
 
L’énergie que provoque l’espoir de te revoir, chaque soir l’espoir de revoir ton aura et ta tendresse, caresse chaque matin d’une ivresse remplie d’un rêve si doux qu’il caresse l’alcôve magique de mes illusions pour devenir encore réalité quelques minutes, dans les chimères de mon âme rêveuse,
Au-dessus d’un éphémère temps mélancolique sans sucre ni amertume.
Une auréole bleu ciel aux contours de tes yeux, de ta bouche sucrée-salée qui redresse mon ardeur en frissons sensationnels, le bonheur en extase, le nirvana au bout de mes bras, la magie de ta bouche sur ma bouche en feux.
La pureté des flammes de nos âmes sensibles, sanguines et féeriques.
Ulysse est en nous par sa ruse et sa force, il habille notre dessein pour une idylle qui forge le destin pour de plus beaux lendemains.
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L’adversité n’a plus de secret sur le viaduc de mon cœur, tu danses sous les tonnerres aux sonneries joyeuses et envoûtantes, le bonheur sensationnel de ton cœur plein de joies pour ramener tout l’éclat de ta grâce qui s’éparpille sur moi.
C’est un ruisseau aux couleurs de l’arc-en-ciel qui coule avec joie à travers des nuages amoureux.
Qui se prélasse de nos joies divines, c’est la grâce qui nous ouvre toute l’extase de nos ébats.
 
 
 
Comme un aigle sans ailes, je me pose un instant à ses pieds ; de velouté, j’ose un baiser de toute beauté. Sans ailes, elle pose un baiser sur ma bouche qui parfume les étoiles, sucrées de vanille.
Qui s’animent d’un céleste chant amoureux, qui sans ailes se posent sur notre parure de draps décorés
De fleurs et de blanc.
Sans ailes, tes jambes se posent sur mon ventre chaud bouillant pour mettre fin à nos échanges si libertins dans le sable mouvant magmatique, maigre butin pour obtenir d’autres refrains.
Je m’endors sans elle dans le divin fleuve éternel.
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 Sans une galère, lentement dans la mélodie des fées habillées par Morphée.
D’un collier de perles d’argent, en un soyeux gant scintillant, caresse le temps qui m’apaise royalement dans les songes aphrodisiaques, vêtus de paysages d’arcs-en-ciel étincelants.
Dans la magie de la brume charnelle de ton corps, j’aperçois les prémices d’une alcôve frénétique.
L’érotisme au paroxysme du sensuel qui se dresse avec tendresse dans les flammes de la nuit, de mon amour qui brule toujours, devenir Sisyphe pour toutes les nuits à venir.
 
Les chimères bleues azur se transforment en une silhouette féminine souriante dans un cortège de nymphes et de sirènes aux auréoles lumineuses de bleu et de rose dans les blancs décors de roses.
Où mes yeux ébahis ne clignent qu’une fois sur deux.
C’est mon âme toute entière dans cette ambiance carnavalesque qui respire toute sa joie.
Un spectacle gravé à jamais comme un astre au plus haut de mon être intérieur.
De grâce, toute mon âme est restée pour longtemps prisonnière de ton astre, pour toujours esclave de ton âme.
Depuis que tu es descendue toute sensuelle de l’arc-en-ciel Aphrodite, je n’ai jamais cessé de t’aimer.
De tous mes rêves qui forment mon être.
 
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C’est ton aura qui comblera l’existence intense et sensuelle de mon âme.
Pour ton corps, de ton astre sur mes joies, dans la toile magique de tes désirs.
Pour rester prisonnier de nos désirs, par tes baisers je suis comblé sans pouvoir
M’arrêter de danser sur ta bouche ambitieuse, je reste par mes mouvements sensible au moindre vent de tes désirs, j’obéis fougueux comme un cheval ténébreux devant les tonnerres en feux.
Dans la nuit brûlante de nos festivités, arrive le grand bal habillé de vapeurs d’orgasmes.
Qui, dans ses draps de soie, nous emporte au jardin féérique de Morphée, sa majesté onirique.
De son souffle nous transporte dans cette nuit magistralement chimérique.
Aphrodite s’agite vers l’orgasme malicieux, qui se glisse en magie dans nos vapeurs de la nuit.
 
Comme une vodka-citron, je reste le colonel suprême pour te dicter ma loi, mais seulement toi peux désarmer mon arsenal, un seul clignement de tes yeux pour dissoudre Hiroshima dans un nuage heureux. Les mots ont de la valeur, mais la parole les déshonore.
Le parfum des malices Quand ta bouche serre mes lèvres, je déguste le miel de fleurs en puissance.
De salive exquise.
C’est de la magie chimérique en big bang dans mon âme explosive, nos baisers sans limite pour le
Feux d’artifice d’étoiles qui brillent par millions d’étincelles vivaces, explosions en beautés.
Dans l’univers qui s’allume comme des éclairs.
Un spectacle de lumières célestes, la vision du divin éternel, le paradis de la beauté que je vois dans tes yeux, qui éclaire la magie de tes yeux, pour la vie.
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Le nuage bleu caresse le brumeux qui nous entoure, l’aile droite de ton fuselage laisse une larme.
Tiède et glissante sur ton visage en beauté de walkyrie, la beauté poétique d’un timide sourire.
Laisse trahir un soupçon semblant de frustration, laissant glisser ton artillerie à tes pieds.
Je n’ose avancer pour t’offrir un baiser.
Nos baisers flamboyants en un ouragan de tendresse, un arc-en-ciel en fleurs de mille couleurs
Dans le ciel flambant neuf, sous nos yeux amoureux du spectacle merveilleux d’une alcôve enflammée par les cieux.
 
Un plafond de pacotille métamorphosé en une fresque fabuleuse de couleur digne de la naissance de Vénus et du jugement dernier.
La peinture sous les ongles des anges artistes et divins, leurs cieux éternels.
Intemporel spectacle du divin peintre créateur, son aura se glisse sur la toile en chef-d’œuvre infini dans l’univers, pour reproduire tes yeux dans ce cosmos amoureux, pour gouter le lagon bleu de ta bouche qui coule comme le glissement d’un ruisseau magique et parfumé au bord de mes lèvres ; mon être en puissance t’enlace pour t’emmener danser sur les rives de Vénus, sur le bord du Danube.
Devant les yeux fixes et forts des kobolds extasiés de regarder la romance de nos baisers, magiques et enchantés pour l’éternité.
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Ce matin, dans la vapeur odorante de mon café, la brume de mes pensées s’est dispersée.
Pour laisser apparaitre l’étincelle d’un songe merveilleux, la vision prometteuse d’une alcôve
Unique dans l’univers du sensuel qui t’anime. Le frémissement du coquin caresse nos sens.
En puissance devant la providence, c’est l’explosion en moi qui souffle sur le soleil brulant de ton ventre. C’est comme le spectacle divin d’un ciel rouge et orange habillé par des anges.
Vêtus de blanc, une harpe à la main pour nous jouer la romance divine, des mélodies qui s’animent.
Par un spectre d’étoiles d’argent sous un ciel aveuglant de son aurore étincelante.

 
 
 

Les nuages qui grondent dans le ciel rouge de vos yeux qui me chassent et pestent mes faveurs.

Sans rancœur sur mon cœur, boudant d’êtres sur le fil prédateur de la toile d’araignée

Comme un Roméo perdant sa Juliette, comme un chien de faïence, un Apollon à qui l’on dit Non.

Un bel ami soumis à vos lois et humeurs. Jean de Nivelle qui pleure votre cœur, le bonheur d’obtenir vos faveurs.

Dans un tourbillon sensuel et mystique, la magie pleine de grâce au céleste éternel où Hathor

Nous reçoit avec joies dans ses bras pour célébrer le mariage de l’amour et de la musique, sans trahir le mélange de nos cœurs, pour toujours. 

Quand le soleil s’effondre sur le bord de tes yeux

Un rayon lumineux brillant de mille feux sèche mais larmes de joies. Quand ta bouche pulpeuse et piquante baise ma bouche, c’est comme un ouragan douceur orange, qui me transporte aux portes du soleil levant.


Quand l’écharpe d’Iris se présente à moi en toute beauté, c’est comme si ce divin paysage

S’adressait directement à moi.

Mon âme matinale chagrineuse s’efface devant les couleurs majestueuse, prodigieuse dans l’absolu,

Incroyables et rayonnantes, ses lumières qui tapisse toute mon âme d’une joie bien heureuse.

L’impression que mon aura se réveille, sous la grâce de cette mythique Iris.

Du bout des yeux je caresse ses ailes d’or, je m’assois juste au bord de l’étang,

Tête baissée je songe encore aux quelque minutes où j’ai vu le plus beau ciel matinal, d’un  magistral

Jamais vu de mon existence, j’ai cru voir, puis toucher Iris dans mon être en réel.

C’est l’histoire d’une reine, c’est l’histoire de la beauté.

Rien n’est illusoire dans ton regard ange ou démon.

Mon aura reste provisoire, mes prières reste dérisoires, quand le soir tes yeux

Et ton sourire alimente l’abreuvoir de tous mes espoirs, rien que pour boire l’eau magique  de ton âme, rien que pour croire en tes déboires, un horizon où tes baisers caressent dans le noir mes lèvres frémissantes.

Ta bouche amoureuse réanime tous mes devoirs, réanime la lumière dans ce noir, puis  dans ce long couloir d’étoile si radieuses, l’amour parsemée de fleurs si radieuses, si mystérieuse, c’est toi et moi

Dans le ciel de la nuit amoureuse.

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Mon humeur joyeuse,

Mon amour pour mon amoureuse,

Mais baisers se sur ta bouche, toi langoureuse et envouteuse !

Mon âme et tes baisers, le panache des désirs inavoués.

Le beau Danube bleu qui coule dans tes yeux, me transporte dans les rêves lointains

Sur les océans merveilleux où les parfums de ta bouche résonnent jusqu’ au abysse du merveilleux.

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C’est l’hiver qui revient, c’est l’hiver qui caresse le doux et le frisson.

Le miroir de l’amour qui reflète ton visage réchauffe ce tranquille mois de décembre.

Ton corps et ton souffle, dévorant  tes baisers, je me retrouve a frimer de liberté,

Nos ardeurs devant l’heure éternelle.

Le divin qui entoure cette flamme olympique, une odyssée fantastique.

Les songes d’Aphrodite dans les jours chimériques de nos vies.

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Cette nuit un songe est venu me caresser dans les bras de Morphée, quand ce rêve heureux  et mystérieux  s’est laissé absorber tout doux et très joyeux dans les chimères bleues de mon âme intrépide.

Dans l’ombre de la sublime auréole de ton spectre, je crois apercevoir les prémices d’un bonheur oublié, l’avant-gout d’un amour qui n’a jamais existé, le romantique qui se pavane et s’agite de ses illusions amoureuses.

Le rêve unique d’une étincelle si vive et si magique, une flamme à sens unique, le départ d’un incendie involontaire.

Le béguin si soudain, qu’il vient ranimer les flammes du destin, ce béguin qui repart pour une étincelle au croisement d’un regard incertain mais certain d’avoir touché du bout des yeux,

Le céleste et divin ciel amoureux.

Les Etoiles si brillantes que je vois dans tes yeux, c’est  cupidon qui se glisse dans les draps de Morphée.

L’escapade magique dans ce ciel romantique, c’est l’idylle féerique d’un songe inoubliable.

Bien plus qu’une amourette !

 C’est le Dionysos  implacable, qui nous ouvre les portes d’Aphrodite.

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Car je suis un arlequin,

Je ne bois que du vin

Si tel est mon destin

J’irais par quatre chemins

Casser la pipe aux copains

Les envoyer vers le divin

Et avec un peu de Levin

J’irais manger leurs pains

Et au bout d’un lustre, le lendemain

J’irai vers elle demander sa main

Et quand elle me dire oui demain

Et que l’on nous applaudira à pleine main

Qu’on fera la fête comme des boute-en-train

Ce jour-là au soleil du matin, moi plaisantin 

J’irais conter fleurette dans le jardin

Dans le jardin j’irais rejoindre ma jacinthe

Elle me dira sans aucun chagrin qu’elle est enceinte

Moi je répondrai comme un chagrin que je suis un philistin

Je luis dirai que je ne suis qu’un arlequin

J’irai finir de boire dans la rue des capucins

Je ne suis qu’un arlequin doublé d’un assassin

Car j’étais le premier à truander ton parrain

Que le divin me pardonne, d’avoir mis du poison dans son vin

J’ai assassiné ton parrain pour pouvoir obtenir ta main

Je m’en remets aux forces du divin, car lui seul décidera de mon destin 

Pardonne-moi ma jacinthe d’avoir semé le malin dans votre destin

Je ne suis pas digne d’être paternel devant l’éternel si divin

  Je pars me souler avec entrain

Avec entrain  me noyer dans le Rhin

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Dans une ambiance bien heureuse

Je vous envoie mes baisers les plus osés

Paysage merveilleux de voir la prunelle de vos yeux, plus beau que les cieux

Si bleu et si radieux, des perles dans l’océan bleu ciel de mon enfance.

Mes veux amoureux souffle sur vos yeux si gracieux puis sur votre bouche, une gourmandise

Si exquise, si brulante d’érotisme pour une fantastique alcôve de magie, enrobé de câlines caresses poétiques.

Nos chaleurs qui se croisent dans ce tourbillon de secousses sismiques

Votre peau sur ma peau, fantastique mélodie dans le vent si câlin

Ce matin-là où ton cœur à  envouté le mien, l’instant d’un éclair, un instant comme un navire qui chavire  dans la tempête du siècle, loin très loin dans le large.

Les chagrins devenu si lointains,

 J’ai hâte de retrouver Morphée allongé  à tes pieds

Allongé dans les songes féeriques de Morphée.

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L’accordéon joyeux,

Qui dans tes yeux si précieux, joue la musique des amoureux.

La mélodie romantique des châteaux espagnols,

Le catalan tambour battant de nos amours d’antan,

La musique authentique de ton cœur sur le mien.

L’escapade palpitante, sur un air envoutant,

Soufflant l’amour chaud du tango Argentin entre nous.

Cette chanson cupidon pour toujours, Argentin sans chagrins,

Pour nous deux, nos regard langoureux, les yeux dans les yeux

Dans ce tango tourbillon, d’un air  d’accordéon si joyeux, les étoiles dans tes yeux,

 Pour me rendre amoureux.

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Quand s’abaisse tes yeux pour me dire laisse toi faire

Oui le soleil m’aveugle comme il veut, tes yeux

Mystérieux, envoutants comme les cieux, les flammes dans tes yeux

Réchauffe mon âme d’un feu sacré si radieux, que les grands feux du volcan

Qui en toi s’embrase dans le bouillant de la lave qui circule en toi.

Laisse tes doigts langoureux envouter mes sens, laisse tes baisers

Si précieux me toucher jusqu’ au creux de la rage qui s’enflamme en moi,

Laisse mes yeux deviner tes cieux, la flamme qui s’anime en moi palpite jusqu’en haut des cieux.

Vers l’infini de ma passion entre tes mains je nage à flot pour crier  toutes nos joies libertines

Dans nos vapeurs si coquines, toi ma divine comédie, nos soupirs aux auspices  d’aussi beaux

Artifices qui pour de vrai, le final flamboyant de ton corps si fort, si chaud.

Le mystère éternel de l’amour, C’est l’univers du divin qui nous entoure,

Ce merveilleux en extase anime nos caresses, je reviendrai demain caresser tes cheveux, caresser le soyeux de ta chevelure, ce vin si divin qu’il me tarde d’être demain pour te baiser la main.

Prendre le train pour l’alcôve que l’on se prépare à deux, si profond et si précieux.

Ce secret du tonnerre des dieux, qu’ils baissent leurs yeux, pour savourer dans leurs cieux

Nos liqueurs si charnelles, notre chaleur corporelle les emportent sur l’Everest.

Le sommet sensuel et éternel, le nirvana des souvenirs magiques remplient de tonnerres et d’éclairs

La lumière du passé amoureux, qui rappelle aux galops leurs amours de toujours

L’éternel souvenir des amours qui ne s’oublient pas, un passé qui frémit pour l’éternité.

Dans le céleste de la voie lactée et des étoiles lumineuses devant l’éternel.


« L’homme n’a aucune raison,

L’animal raisonne, l’homme est un animal,

Qui dans sa raison, raisonne le fait qu’il possède une raison »

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Le monde n’est que matière et matériel, la matière fabrique le matériel nécessaire pour détruire sa matière, il y a matière à faire la guerre, mais la matière ne dure qu’un cycle, et en matière de cycle c’est la matière qui juge, elle juge notre matière et décide de notre cycle.


Je vous offre ce léger poème, ainsi que tout mon amour,

Qui comme l’océan ne désempli pas.

Plus je vous aime et plus je rêve,

Je rêve de voir votre dévolu m’offrir vos soyeux baisers,

Votre doux et charnel dévolu déposer la passion qui brule en vous,

Et si vos charmes me désarme, lui mon cœur vous bombarde.

Jour et nuit ne font qu’un, même dans le noir votre céleste lumière,

Réveille mon âme par ses étoiles qui scintille comme les rayons du soleil,

C’est dans le noir du désespoir, que vienne enfin le bel espoir de voir venir vos yeux,

Dans l’obscur brouillard tout vêtu de noir puis voir dare-dare votre sourire malicieux,

Éclairer vous yeux bleus si gracieux, quel visage merveilleux, au-delà de tous les cieux.

Sandro

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C’est dans tes yeux, envoutant et mystérieux, que l’on voit les grands feux du volcan qui s’embrase en toi.

Tes yeux s’abaissent pour me dire laisse toi faire, laisse mon massage langoureux, envoutant, envouter les cieux, vers l’infini je laisse mon destin entre tes mains pour me réveiller matin.

Entre tes mains tu

Laisse couler à flot toute nos joies libertines, nos soupirs aux heureux auspices d’une pie joyeuse, les auspices d’un si beau feu d’artifices nous motivent, moi hardi comme toujours, j’abandonne cette hardiesse maladroite devant

Le son de ta voix si douce, laisse trahir ta langue ostique, mélodieuse et envoutante

La chaleur corporelle, la liqueur de ta bouche si charnelle, remplie mon âme de tonnerres et d’éclairs amoureux, me rappelle aux galops tout l’amour du passé pas encore oublié, ce passé qui frémit pour l’éternité.

Sandro

 De droite à gauche

De nos corps qui se frottent, c’est un parfum vainqueur qui enjolive notre soirée enflammée

Frappant nos deux cœurs notre chaleur qui grimpe au sommet des plus hautes voluptés.

Toi corseter dans cette douce étoffe tu dégrafe voluptueusement ce tissu magistralement de ton buste incroyablement flamboyant pur bonheur pour mes yeux et ta peau plus que céleste en milles étoiles de feux rien que pour mes yeux, mes baiser sur ta peau me procure

Mille parfums de vanille exotique cette symbiose au fruit de la passion en soupçon la fraicheur d’une sauvage orchidée descendue du divin paradis des iles aphrodisiaques ou les méduses aux yeux qui brillent comme les émeraudes antiques des civilisations aujourd’hui englouties, les reflets du soleil amoureux sur la mer bleue une armée de  vénus venu assistée

Au défilé majestueux en fanfare de ces vents et câlins en musique enivrant le spectacle tout en feux de nos astres amoureux.

—————————————————————

C’est cette fleur qui pousse tous les jours le matin quand je croise ton regard, ce jardin qui pousse dans mon cœur quand tu embrasse ma chair, caresse ma peau et fait tourner mon sang,

Mais bon sang le sang qui coule dans mes veines, quand j’ai la veine moi le roi veinard

J’ai le pouvoir de faire baisser les paupières de ton regard merveilleux par mes baisers

Langoureux, heureux quand tes caresses charnelles brulent mon âme en je t’aime éternels

Toi mignonne et féroce comme une lionne avec la chaleur d’une tigresse en chasse

L’amour qui respire a cote de nous, la passion dévorante entre nous

Ce château de carte entre nous qui s’écroule quand le jeu de l’amour passe son tour

Mais le jour qui passe lui aussi passe son tour mais c’est autour de mon cou ou tu es de retour sur ma bouche pour que suivent les cartes de l’amour a leur tour ravigote le bestial entre nous, ta chasse a cour vaut tous les détours, c’est moi seul vautour qui dérobe ton amour, oui des cendres restante du château apparais l’étincelle  éclatante aux lumières envoutante ou émane la naissance merveilleuse d’une reine amoureuse, comblera

Mon amour pour toujours, moi vautour devenu le seul roi de ton amour, le parfum de l’amour pour toujours.

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Doucement le soleil s’éloigne de notre horizon, pour laisser entrer les nuages dans un ciel rouge de feux, soudainement ton regard de femme et de déesse, un visage en toute grâce très souriant se dévoile comme par magie et tes beaux yeux qui brillent comme un feu follet aux habits de la beauté, dépasse le parfait pour l’éternité.

Feu Follet, à mes pieds, c’est le charme qui opère, éclatant de tous ses artifices, pour devenir Aphrodite charmeuse, une heureuse vision qui me procure toute la force pour t’emmener dans mes bras, puis braver la frontière du cimetière de l’enfer et au plus vite déguerpir cette nuit de la cruauté de ce sombre paysage, qui se dissipe pour toujours.

Notre amour pour toujours, le bonheur est trop court.

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 De droite à gauche

De nos corps qui se frottent, c’est un parfum vainqueur qui enjolive notre soirée enflammée

Frappant nos deux cœurs notre chaleur qui grimpe au sommet des plus hautes voluptés.

Toi corseter dans cette douce étoffe tu dégrafe voluptueusement ce tissu magistralement de ton buste incroyablement flamboyant pur bonheur pour mes yeux et ta peau plus que céleste en milles étoiles de feux rien que pour mes yeux, mes baiser sur ta peau me procure

Mille parfums de vanille exotique cette symbiose au fruit de la passion en soupçon la fraicheur d’une sauvage orchidée descendue du divin paradis des iles aphrodisiaques ou les méduses aux yeux qui brillent comme les émeraudes antiques des civilisations aujourd’hui englouties, les reflets du soleil amoureux sur la mer bleue une armée de  vénus venu assistée

Au défilé majestueux en fanfare de ces vents et câlins en musique enivrant le spectacle tout en feux de nos astres amoureux.

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C’est cette fleur qui pousse tous les jours le matin quand je croise ton regard, ce jardin qui pousse dans mon cœur embrasse ma chair, caresse ma peau et fait tourner mon sang,

Mais bon sang le sang qui coule dans mes veines, quand j’ai la veine moi le roi veinard

J’ai le pouvoir de faire baisser les paupières de ton regard merveilleux par mes baisers

Langoureux, heureux quand tes caresses charnelles brulent mon âme en je t’aime eternels

Toi mignonne et féroce comme une lionne avec la chaleur d’une tigresse en chasse

L’amour qui respire a cote de nous, la passion dévorante entre nous

Ce château de carte entre nous qui s’écroule quand le jeu de l’amour passe son tour

Mais le jour qui passe lui aussi passe son tour mais c’est autour de mon cou ou tu es de retour sur ma bouche pour que suivent les cartes de l’amour a leur tour ravigote le bestial entre nous, ta chasse a cour vaut tous les détours, c’est moi seul vautour qui dérobe ton amour, oui des cendres restante du château apparais l’étincelle  éclatante aux lumières envoutante ou émane la naissance merveilleuse d’une reine amoureuse, comblera

Mon amour pour toujours, moi vautour devenu le seul roi de ton amour, le parfum de l’amour pour toujours.

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 Tes yeux majestueux, prunelles aux couleurs de l’océan, je n’ose à peine les fixer longuement, oui des flammes si rouges du feux des désirs qui s’enflamme pour moi, je touche du bout des doigts

Ce nuage en orage, le tonnerre du céleste Cupidon amoureux

Même Éros ce héros est reparti au galop sur un cheval de feux, il me reste quant à moi, de redoubler d’effort et de courage pour oser venir gouter ton breuvage, ce nectar amoureux de mille feux,

Savourer la magie et consumer ton magma aux mille caresses si frêles et délicates.

Refroidir toute la nuit l’incendie qui résiste de ton corps rayonnant rouge encore.

Ce brasier que j’avais rallumé rien que pour tes baisers.

Le brasier de l’amour qui brule toujours.

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Doucereusement, le vent caresse notre air ambiant pour nous envoyer le zéphyr

Qui nous transportera royalement au sommet de cette montagne,

« La Grande Salace »

À chaque promenade en montagne, mille et une escapades vous attrapent comme un rêve vous embrasse, un songe dont la salacité vous parfume en extase ce langoureux sommeil si merveilleux

Pour vous montrer à quel point  l’air coquin du grand sommet soulève et entraine les plaisirs, pour se griser de centaines de baisers où notre étreinte explosive, notre splendide enchantement nous

Amène radieusement dans nos rêves idylliques.

Magiquement assoupli dans ce mythe angélique.

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Comme le chat qui montre sa langue, moi je tire ma langue et je donne ma langue au chat

Quand tu poses tes petites pattes frêles et délicates sur le creux de mon ventre

J’inspire doucement, quand ta bouche souffle le chaud et le froid sur mon cou puis sur ma nuque  

J’inspire de plus en plus fort pour t’attraper te cajoler, je m’agrippe et sort les griffes pour te dévêtir en soufflant le chaud sur ton dos, tu retourne le bas de ton dos face à moi, tes ronrons n’en finisse plus ,ce miaulement malicieux que tu m’envoi sous mes yeux réveille le chaud brulant qui bouillonne en moi sous les draps je glisse sur la soie vers toi où commence en fanfare nos ébats sur la magie toute câlines de tes babines qui salives vers plus de supplices aux délices pour toi et moi sans draps de soie, je culmine avec majesté ma douce rage, ma féroce ardeur pour refroidir ton élan et capturé ton cœur, en douceur tu t’incline sous ma fureur et sans douleur de cette douceur escapade

Je reviendrai avec ma sérénade sans armes et sans grenades sur ton territoire et sur ton estrade retenter nos escapades sur l’éternel chant de l’amour, la sérénade du printemps qui nous attend.

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Celui qui veut arracher ma mémoire doit d’abord arracher mon cœur

Celui qui tente d’arracher mon cœur doit d’abords écraser mon ardeur et celle qui décide de me voler mon honneur doit d’abord envouter ma cervelle, celle qui décidera de mon salut devra

En tout point piétiner chaque recoin de mon enveloppe charnelle.

Mais mon auréole déclenchera chaque étincelles des étoiles les plus lointaines  

En feux d’atomes étincelants si puissant si gigantesque qu’habillera et animera la moindre

Particule élémentaire de la terre pour transformer l’air et le temps en un spectre vivant

D’où émanera une silhouette charnelle bien réelle   si parfaite, cette personne, cette mémoire

N’est rien d’autre qu’un cœur revenu sur cette terre faire mémoire éternelle dans les cervelles

Si cruelles des personnes qui nous aiment, des personnes qui nous jettent aux enfers terrestres. —————————————————————————————————————————————————————-

Comme une chatte en chaleurs tu brule de mille ardeurs

Tu m’offre ton cœur, ton QI comme peau de chagrin

Comme une fauvette en chasse tu te frotte sur le fauve

Comme le lion je ronronne avant de comprendre que tes faveurs

Me désigne, à ce moment précis moi mordant le bas de ta nuque

Et c’est l’explosion charnelle qui commence, nos galipettes

En louanges comme un paso-doble, nous deux dans cette danse espagnole 

A deux temps et le temps du repos et de la récupération

Ta prodigalité disparue tu disparais sans passe-montagne   

Mise à nue, toute féroce et interdite vers cette montagne

Où les femmes transforment dans leurs royaume l’eau du fleuve et des torrents

En magiques breuvages aphrodisiaques pour qu’à chaque arc-en-ciel

L’on retourne encore boires à la source des hommes et des fauves

En quête d’amours et de plaisirs sensationnels et charnels.

  • – – ——————————————————————————

Comme une fraise fondante ma langue lèche et caresse le bord de ta bouche et de tes lèvres sucrées à souhait et de ta bouche palpitante

Ma langue entre tes lèvres déguste le jus de ta bouche pulpeuse, ce jus avec sa pulpe m’offre un florilège au cortège riche en vitamines, un nectar où je m’essouffle peu à peu pour m’endormir

En extase sur tes mandarines fermes et soyeuses, et toi joyeuse tu ricanes de voir Morphée

 M’emmener au pays où l’on rêve où les larmes se transforme avec rudesse en de jolies petites poétesses aux lèvres rouge comme les fraises, des poétesses qui nous bercent de doux mots

En poèmes fantastiques.

Poétesses aux poèmes où la neige est habillée de feux, où les femmes ont dans leurs yeux

Le pouvoir de nous rendre amoureux.

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Cette lune pleine me cafarde un peu mais quand je vois tes yeux le soleil respire un peu en moi

Et mon cœur chaud comme le Vésuve me rappelle la force divine de cupidon pour toi mon amour, cette flèche habillée de bleu arrive en ferveur et transperce en douceur ton jolie cœur tout rose pour qu’il s’ouvre sur moi, son effervescence douce et câline emporte mon cœur bleu dans les reflux

Erotique du paradis des anges sur cet océan où la brume parfume notre vie de doux muguets odorants jusqu’au abysses idylliques dans la magie des amours fantastiques.

Douceurs.

Le cœur battant la chamade

Nos organes frôlant le paroxysme du nirvana

J’ose à peine exulter au moment du feu d’artifice

Nos volcans tout en force, nos volcans en extase

Cette lave rouge et ardente de nos astres charnels, une fusion explosive

Un magma érotique de notre amour bestial, ce carnaval volcanique Briant de tous ses artifices

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Mes mots en alphabet tout entier glisse sur toi en vers luisants

Pour t’embrasser avec rimes et alexandrins, dans ce train de nuit mes proses et syllabes

Pour déshabiller la chaleur de ton ardeur, cette grammaire créatrice qui habille les paroles divines

Des baisers que ta bouche merveilleuse dépose sur mes lèvres.

Fugueuse comme une lionne qui capture sa proie, l’animal tout en rage comme toi.

Comme moi qui nage en douceur et sans fond, je m’enfonce dans les magnifiques abysses de cette divine poésie.   

-Aurore-

Sans la moindre morale,

Brulant de ton âme pervertie,

Ton âme diabolique eu merci,

Des caresses satyres libertines,

Sans la moindre morale charnelle,

Toi coquine libertine le mal ardent,

Je reste libre au moindre vent,

Je reste soumis au mal du temps,

Sans la moindre morale,

Toi diablesse flamboyante en ce royaume,

Sans la moindre morale de notre temps,

Ce surnaturel en toi conditionne mon existence,

Le don inconditionnel de mon âme pour toi,

Sans la moindre morale encore une fois,

Ton cortex cérébral à mis les feux à la morale,

Ton cortex cérébral à mis le branle-bas cette fois,

Le branle-bas à ma caserne cérébrale,

Sans la moindre morale pour la dernière fois,

Le temps de respirer, le temps de trois mouvements,

Je reste suspendu à tes lèvres si belles, sans morales,

Sans la moindre morale suspendue à tes lèvres,

A tes lèvres si douces jusqu’au au lever de l’aurore,

Lever de l’aurore encore innocent, l’auréole de la nuit qui ‘s’endort.

Aux abysses de la volonté

J’offre un baiser aux supplices de tes voluptés

Sous ton charmant cartel érotique j’attise ta fibre exotique

Dans ce goulag flammes de la passion je perds ma raison sous ta fougue  trépidante

Qui m’embrase dans ta rage infernale, ta folie corps à corps, escapade dans mes bras

Bouche sanguinaire deviens en un éclair un orage salutaire pour qu’un arc en ciel

Extraordinaire vienne déposer sur nos chairs ce drap sensuel et soyeux pour nous

Refroidir des ardeurs hautes en chaleur, ce temps

Qui nous emporte pour ne plus jamais

Rencontrer des matins tout chagrins.

Ce temps qui amène boire le thé de la sensualité, le thé de l’amour, la tasse de thé pour toi ma bien aimé.

Le diable jaloux de nous ricane derrière l’abat jour qui  cache le jour et les rayons du soleil.

Cette lune pleine me suffit a peine pour voir le fond bleu merveilleux de tes yeux.De nos amours à nos ébats , cette nuit cupidon s’est  enfui , c’est le diable qui anime et habille notre nuit.Athéna qui s’enflamme et Pandore qui s’Endort Dans l’océan de l’enfer je descend Ma sirène tu n’es  que chimères tu n’es que cimetières à mes yeux,Sous  l’aura d’un câlin douceur cupidon de son chant d’amour je crois entendre encore ta douce voix d’autrefois, où par miracle je Fus Ébloui par le plus majestueux des arc-en-ciel.Ce grand pan aux yeux rouges, qui nous guette et nous pique comme les guêpes, ce voyage entre nous si doux est devenu si flou qu’on S’en trouvent amnésique de nos doux mots d’amours, ce grand Loup Tout habillé de rouge à voler ce printemps qui bercer notre amour.De rage mon amour.Cupidon, mon amour de ta bouche je savoure de tes lèvres sur Les Miennes, je déguste le nectar de tes jours, je savoure ton Amour Sur mes jours, sur mes nuits je récolte le fruit de ton corps,Cette nuit je révise mes forces, je m’emporte  sans raisons dans Tes Secousses si douces, le diable jaloux de nous qu’il grimace de sa frimousse derrière l’abat-jour. Ce diable divin de lui, esquisse notre idylle de toute son ampleur maléfique de son perspicace regard rouge sang qu’il bave de notre bonheur que cette pleine lune en pleur de n’être si peu heureuse,  devant nous mi-nu nous deux mi-vêtus sous un firmament vagabond devant notre larcin érotique, notre amour scandaleux devant ce diable nocturne et taciturne, qu’il n’ose plus être si hardi a vouloir tamiser de son poison venin cette nuit où je ne contrôle qu’à demi-voix, à demi force la splendeur et la sculpture de ton corps, ma diablesse aux nobles formes que ton céleste d’un bois brute jamais vu dans toute la nature que ce monde possède, de ton salut je m’inspire de ton buste et du reste pour une escapade fantastique, une évasion fantasmagorique unique, une Odyssée maléfique et destructrice du splendide qui nous bercent, le moment magique et unique, l’intemporel explosion de ton astre sur mon âme, la fusion de tes petits cris, de ta suave résonance rien que pour moi, la nuit n’en vois plus les jours, ces temps et ces cris de la nature rien que pour nous,le diable au poil rouge reparti pour nous maudire, qu’il nous reste du répit qu’il nous accorde de pleins droits cette nuit de plaisir au creux de ce vent impétueux qui caresse  nos cheveux, de ces nuages doux habillé de feux, le temps encore clément nous accordent son tempérament, pour que l’on reste encore les amants témoins présents de ces instants bouleversants du mystère immense que les anges et les démons  divins nous accordent, ces moments d’ivresses rien que pour toi et moi. 

J’ai volé  vos yeux en un instant record, un instant éclair, un blanc éternel, le bleu de mon enfance.

Toi ma sauvage au creux de mon âme qui tressaille où je respire le vide, dans ces feux follets souvenirs

J’en oubli nos adieux, ces pieux souvenirs devant notre monde si grotesque, la mort n’a nulle besoin d’horloge, les étoiles aligné comme les araignées  sur leurs toile disgracieuse.

Que ton astre même en rage vienne embrasser mes illusions, pour que la lune rougisse de nos dernières embrassades, toi mon orage pour la dernière fois de tes grand bras tu libère mon esclavages et  dans les vagues du dernier torrent d’amour, une goute à la fois par la douceur

D’un monde inconnu, ma mémoire s’estompe lentement vers l’obscurité terrible et tragique de l’oubli

L’oubli qui brille et qui brule, l’amnésie fatale et infernale, ma mémoire se glisse goute par goute vers le néant, le néant que je n’attendais pas, le néant bien présent que l’on ne voit pas, le néant est là, le néant est passé et moi, le néant ne ma pas oublié.

Perfection n’est  pas ton nom, tu nomme un monde sans cortex, ta faiblesse se manifeste.

Ton nom n’est qu’inquiétudes stupéfiantes tu annonce te prénommer Jupiter mais la flagrance

Prouve le contraire, prénomme-toi sur le champ    !

A l’instant ton nom est acclamé, imminent  tu murmure ton véritable nom, Baltasar

Comme par hasard tu annonce comme le blizzard tes murmures dans le brouillard

Quel tintamarre  pour un si petit bazar, Baltasar repars dans le hasard, retourne à tes chiens de gardes

Baltasar repart et prend garde !  Si tu reviens, Baltasar    ton chez toi c’est nulle part, si tu reviens

Prend garde au fond du puisard, car de ma colère si fière et si brève je volcaniserai ton spectre

Si mécréant    ainsi soit t’il, au revoir Baltasar, ne reste de ton sombre aura qu’un souvenir volatile

De ton astre en nuage allégé qui s’évapore devant moi comme un mirage  sans noms et sans visages.

Un souvenir invisible, une pensée  oubliée, un rien de néant vagabond qui n’est plus présent.

Un blanc insensible,  au néant qui m’entoure.

Mon hirondelle en fleur, Ouvre-moi ton grand cœur, ouvre moi  ta chaleur, offre moi ton ardeur

En ce feu qui brille, en tes yeux si fort et si doux, ta bouche charnelle plus belle que la reine des lumières qui  illumine ton si beau visage, éclairci mes ténèbres et mon âme.

Tes lèvres si belles aux parfums divins et subtils ce parfum de mille Feurs au bouquet de printemps, aux senteurs douces et raffinées  des îles marquise, des îles, fleurs du désert, du soleil de printemps. Où bourgeonne encore le nectar ambitieux de ta bouche merveilleuse.  

Tes lèvres sur les miennes ouvrent en moi mille ardeurs, un sentiment irréel et magique, au sommet de mes frissons mes idées deviennent polissonnes, le grand frisson dans la cage du lion, mille frissons en rugissement rien que pour toi ma lionne.

Nous deux enlacer sous ce nouveau jour ma friponne, ce nouveau temps de grâce je découvre l’instant magique, l’instant qui découle du fruit de nos passions, l’air et l’instant propice ou je respire autrement.

Ce jour nouveau me fait signe de saisir en plein vol, de ma force subtiliser ces moments nouveaux si romantiques.

Ce coup d’état, ces coups de grâces, je m’envole sans bagage pour ce long trajet que notre

Céleste propose,  le destin à mes yeux, le divin instant sous mes yeux, le grand moment que nos auras aspirent depuis longtemps, nos aspirations à jamais réunis  dans cette nouvelle histoire.

Un départ cousu main sur ce chariot de feu, nos deux cœurs encore tout chaud, nos âmes pour les feux et les flammes de la passion.

A jamais, pour toujours dans ce feu de joie, la jouvence éternelle qui abreuve nos joies.

Pour toujours nos amours sur l’olympe de l’amour et du sang, le pégase des victoires éternelles  et sans fin.

Ces perles rares, nulles autres prunelles si belles dans ce monde, nul pareil n’a tes yeux,  ces bijoux uniques et merveilleux.

Tes yeux, joaillerie  inestimable dans ce monde bien plat, ces bijoux sans nul doute, merveille de tout les temps, merveilles intemporelles.

Toi l’hirondelle, toi Atiza  celle qui m’ouvre les portes de l’éternité, les portes divines de l’amour, le château de la chair et de l’amour, Atiza c’est moi ! Atiza je t’aime !

Mon hirondelle en plein cœur, mon hirondelle de toujours

Mon hirondelle éternelle, Je t’aime !

l’Élixir, la Bombe et le Tango

le Tango Argentin, cette mélodie italienne

Mon élixir, la sirène de la gloire.

La Jeanne d’arc de la Gaule,

la sirène de la France , nos camarades du chand d’honneur,

honneur et élixir 

honneur des batailles d’autrefois.

l’élixir, la victoire nous appelle

honneur, la sirène nous protège

la bombe et le tango

la mélodie de la mort, la mélodie de la plume, la sirène des vie perdue pour le monde et notre pays

la mélodie de la vie, la musique des âmes perdues

je m’en remet au vent et au silence des plus jeunes et des morts.

pour cette journée qui perdure depuis des siècles, qui reste le plus beau jours des français.

l’élixir et la bombe

la bombe et le tango

la guerre perdure, la paix résiste.

le silence est incertain, le danger invisible.

les guerres d’autrefois nous servent de leçons pour l’histoire d’aujourd’hui, pour l’histoire de demain

tous ensemble tout un ensemble qui nous ressemble

la France c’est notre élixir

la France cette chanson

la France cette mélodie

la France cette mélodie pour toujours et jamais.

Sandro.

Judas ce soleil, ce soleil un matin de l’été ce judas me brula les yeux sur la peau.

Elle cette âme dans un corps d’abeille, la beauté du diable aux longs cheveux blonds,

Aux yeux bleus et soyeux plus bleu que l’océan de mon cœur amoureux.

Cette pluie qui jadis s’arrêta devant ce diable de judas, ce soleil depuis trois cents jours

Nous couvrent les étoffes brulantes à fleurs de peau, sur nos carcasses encore en chair,

Nos os qui réclament encore les blés, le cochon et la dinde, le gibier n’est plus là,

Les chevreaux endormis pour jamais.

Judas ne porte tu là les habits et les masques de la voluptés, ne te déguise pas en femme pour nous attraper !

Hô judas libère ce soleil de tes bras, relâche ce soleil

Libère nous sur le champ du chaud et du brulant.

Judas à tes pas, judas sur tes pieds je supplie, je m’incline à pleine âme !

Judas ramène nous le froid, l’eau et ses cascades

Le soleil n’et pas judas sans raison, une semaine de plus et je ne serais plus là.

Par pitié pour nous et pour tous, devant toi judas, devant toi soleil, je respire qu’à demi

Je parle à demi-voix, mais de toute mon âme pour toi si tu veux judas ! Laisse le soleil repartir sans rougir,  Judas de tes forces magiques, intemporelles laissé tolérer  de pleins droits

Respirer notre air avec joie.

Libère nous Judas ! Libère toi !

Pour mon dernier repas !

Pour mon dernier repas, je désire en guise de crudités déguster le chaud et froid de tes baisers.

Pour mon dernier voyage je désire à tes coté rejoindre la marine pour traverser du creux de tes reins

Ton corps puis remonté à la surface de tes seins  pour recevoir  tes soyeux baisers au firmament de tes yeux.

Et pour dernière plaisanterie  en rupin rural dans ma caverne esprit runique, j’attiserai ce feu de bois qui brule pour toi, en toute générosité avec mon grade d’Amiral, je réinventerai la genèse du dieu créateur pour qu’on fond de tes entrailles où je me prélasse avec toi, où je chante l’hymne de l’amour, je chante avec ardeur les louange de ton hymen, hyménée  nous salut avec joie

Nul besoin d’hydromel avec moi, rien que le miel liquide de ta vertu  me tue, me donne l’ivresse

De nos êtres, cette plaisanterie si réelle me laisse pousser des ailes, mes bras dans tes bras où je

M’endors pour rejoindre la Morphée aux parfums si divins, un parfum aux milles fleurs   

Sous la douceur de tes doigts, sous la grâce de tes joies, la douceur de ta bouche sous le rythme mélodique de ton cœur amoureux, amoureuse ma douceur.

Cette samba pour sang chaud, cette samba pour sang froid, samba et escapade sans voix.

Promenade des cœurs d’autrefois, promenade qui nous porte jusqu’au bout de la noyade.

Dans ces couloirs noir de sang, de ces démons tout blanc, si bien vêtu de blanc et de printemps qu’il Nous peste comme des enfants, qu’il nous reste cette honte d’avant notre rencontre.

D’avoir voulu traverser ce grand vent ensemble sans se faire attraper, sans se faire prendre dans

Le grand mal, le magma géant du diable et de ses hotes, pour ce grand repas autour de cette grande table, ce repas festin rempli de venins.

Mes souvenirs au bénitier de notre église, magistralement je perds ma magnanimité rien que pour

Tes baisers, le vignoble de la romance et le nectar des amoureux s’éloigne peu à peu de nos cieux.

Ces requins aux yeux du mal et du néant, les yeux insondable du diable,  des yeux de flammes, des yeux de l’enfer et du mal, si Lucifer est encore sur terre, il reste les temps et les instants et l’infini pour se préparer à la guerre , la guerre de chaque moments, de chaque malheurs et de chaque bonheurs à arriver .

Le Casus Belli imminent  j’avance vers cet affrontement, la fin du grand repas étant proche

Je me lève et prononce « mes chers convives écoutez moi, écoutez ma requête, Eve ma conquête de toujours et de tout les temps est endiablé par l’un de vous, je suis fin prêt à le défier avant minuit aujourd’hui, je suis assez alerte pour délivrer ma belle et rien ni changera ! »

En un claquement d’orage et de tonnerre, la belle Eve arriva et elle avança avec toute sa grâce vers moi,  me pris dans ses bras, de ses bras frêle elle me serra fortement puis m’embrassa, dans ses bras ma tète tourna et mes jambes mollement flétrissais pour que je puisse tomber aux pieds de ma dulcinée, au réveil de milles baisers ma beauté m’a comblé et j’espère à jamais pour l’éternité.

Ce moi de mai où je me permet d’apprivoiser le spectacle de ta beauté

je tente tant bien que mal départir ma faiblesse et mon engouement devant ta prestance.

en correctionnel je suis, d’un simple sourire, si belle de toi à moi ma peine est si pleine

en correctionnel pour l’éternité rien que pour tes baisers.

Corseté dans cette étoffe qui brille d’avantage que l’or et l’argent, ce tissu soyeux

ce linge de toute grâce ébloui ma vision, aveuglé je n’ose prononcer des mots,

d’un merci avec hâte ma stupeur amoindri le moindre son de ma voix,

moi doryphore je n’ose creuser le tunnel de conjecture qui m’anime, n’ose imaginer un quelconque labyrinthite de bontés pour te rejoindre, pour conquérir en héros ta beauté majestueuse et rieuse.

Le cerisier fleuri mais les cerises ne tombe plus, ma récolte à bout de souffle m’a permis de couvrir

mon hiver, le printemps revenu j’ai perdu mon devoir dans les déboires des heures perdues pour

te revoir, et te revoilà.

Un brainstorming en effervescence ce nid par là, cette resserve en moi sans idées deviendra

à  coup sur un fleuve menu méninges    qui de toi à moi comme abreuvoir nous montrera les couloirs sublimes de nos trajectoires l’amour pure éternel autour de notre feux charnel

et éternel, l’ultime feux étincelant de nos passion comme aveux de nos cieux infinis pour la vie.

La planète tourne à l’envers

Les décors à l’endroit tu me fais tourner la tête à l’envers

Quand ton beau buste et ses lolos dessinent ton pullover

J’ai mon sang qui tourne à l’envers, à l’endroit précis de ta bouche en feux

A l’endroit mes baisers langoureux caresse tes cheveux à l’ endroit tout tourne à l’envers

Quand je déshabille ton corsage jusqu’au bas de tes cuisses c’est magique, je relève mon ardeur à l’envers contre toi je dégage ma chaleur et mon joug décent de travers vers  l’envers de

L’enfer qui bouillonne tout comme moi si peu fier, ma friponne de ton corps si céleste, le

 Merveilleux continent parsemé de pétales d’orchidées, odorantes aux parfums de ta bouche, de tes seins c’est le monde à l’envers, dans mon dernier verre je savoure ta frimousse, si douce ma promise tu souris, je pars ma beauté  à tes pieds, prendre le dernier train pour Morphée.

Un grand soleil,

 Un grand soleil, un grand sourire je pense encore a toi.

L’explosion divine, quand ta courbure, quand tes lèvres enrobe ma bouche, le gout sucré de ta langue salivante.

L’instant est faste pour les farfadets et leurs fariboles.

Languissant je monte au bord de tes dents, ma nature se réveille comme un volcan, bouillonnant d’espérance,

 Je prends, je dévore tes attributs tout tes reliefs subliment ta personne, le parfait parfum

De ta beauté plastique, ma déesse explosive.

La providence se balade en cadence sur tes cheveux bouclé blond et or, sur ce torrent sensuel où cette danse venue du ciel me rappelle ton corps et ta chair, ton chant de sirène dans ce vent charnel

Cette musique sensuelle attise les flammes ardentes  de mon âme, mon cœur dévolu danse et chante au plus haut dans ton bal tango, ce grand cinéma entre nous, ce bal majestueux entre nos

Deux cogitos.

Aussitôt nos bras qui s’enlacent, aussitôt nos deux corps qui trépassent, l’instant fatal de nos ébats

Dans le labyrinthe de l’amour et du sang, nos deux âmes  brillantes comme des étoiles dans le ciel clair et limpide de notre enfance, le céleste éternel imprégné de l’aura qui nous illuminent et anime le néant Pour l’éternité.

La grâce éternelle,

A tout jamais que nos baisers deviennent destinées dans l’éternité, à jamais ces étoiles puissent briller sous les cieux merveilleux du cosmos amoureux.

Voilà nos destinées, le mouvement perpétuel des moments amoureux.  

—-

Tout comme le vent, le temps qui nous est propre n’est que du vent que l’on ressent un instant

Puis s’envole d’autres vents qui nous font oublier notre vie qui défile à travers vents, à travers temps

Ces instants qui nous tiennent pour former l’existence que l’on supporte, l’existence dans le temps

N’est rien d’autres que du vent, des instants qui nous volent et qui nous empoisonnent, des instants

Construis par le vent, tout ce temps qui comporte l’existence des instants qui ont fait l’expérience

De nous croire existant dans l’instant, de nous croire éternels dans le vent, de nous rendre vivant

Dans le vent, de nous donner la mort dans le temps qu’il nous reste vivant pour comprendre

Que le temps est passé comme une étoile filante sans que l’on puisse prendre le temps de savoir

Savourer les images observées, sans que l’on est trouvé la paix pour mourir dans la digne tranquillité

 D’avoir été comblé par l’éternité tout entière.

La planète tourne à l’envers

Les décors à l’endroit tu me fais tourner la tête à l’envers

Quand ton beau buste et ses lolos dessinent ton pullover

J’ai mon sang qui tourne à l’envers, à l’endroit précis de ta bouche en feux

A l’endroit mes baisers langoureux caresse tes cheveux à l’ endroit tout tourne à l’envers

Quand je déshabille ton corsage jusqu’au bas de tes cuisses c’est magique, je relève mon ardeur à l’envers contre toi je dégage ma chaleur et mon joug décent de travers vers  l’envers de

L’enfer qui bouillonne tout comme moi si peu fier, ma friponne de ton corps si céleste, le

 Merveilleux continent parsemé de pétales d’orchidées, odorantes aux parfums de ta bouche, de tes seins c’est le monde à l’envers, dans mon dernier verre je savoure ta frimousse, si douce ma promise tu souris, je pars ma beauté  à tes pieds, prendre le dernier train pour Morphée.

Mes acrimonies

Depuis des décennies me démange jusqu’au chevilles 

Je suis ébaubi de voir du mardi au jeudi ce cercle d’abrutis

Des lanternes jusqu’à l’infini pour lanterner mon quotidien

Une atmosphère arêteuse du jeudi au lundi mes voisin malvenus

Si je pouvais étranger ces tracassiers en puissance le dimanche en retroussant mes manches sans malaisances c’est au fin fond de la manche que j’irais engloutir ce funeste horizon que m’a fourni la providence, mon voisin c’est avec un immense engouement que je suis heureux d’apprendre  

D’en avoir fini avec vos existences dénouées de tous sens, sans diligences ce dimanche je retrouve enfin un sens, une espérance, celle de voir revenir vers moi l’insouciance de jours meilleurs.

Mes voisins sous la manche, mes voisins du dimanche, Bon dimanche.

-Aurore-

Sans la moindre morale,

Brulant de ton âme pervertie,

Ton âme diabolique eu merci,

Des caresses satyres libertines,

Sans la moindre morale charnelle,

Toi coquine libertine le mal ardent,

Je reste libre au moindre vent,

Je reste soumis au mal du temps,

Sans la moindre morale,

Toi diablesse flamboyante en ce royaume,

Sans la moindre morale de notre temps,

Ce surnaturel en toi conditionne mon existence,

Le don inconditionnel de mon âme pour toi,

Sans la moindre morale encore une fois,

Ton cortex cérébral à mis les feux à la morale,

Ton cortex cérébral à mis le branle-bas cette fois,

Le branle-bas à ma caserne cérébrale,

Sans la moindre morale pour la dernière fois,

Le temps de respirer, le temps de trois mouvements,

Je reste suspendu à tes lèvres si belles, sans morales,

Sans la moindre morale suspendue à tes lèvres,

A tes lèvres si douces jusqu’au au lever de l’aurore,

Lever de l’aurore encore innocent, l’auréole de la nuit qui ‘s’endort.