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SANDRO (auteur)
« L’homme est le seul animal à se soumettre à des phénomènes, qui n’existent pas. »
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Les nuages qui grondent dans le ciel rouge de vos yeux qui me chassent et pestent mes faveurs.
Sans rancœur sur mon cœur, boudant d’êtres sur le fil prédateur de la toile d’araignée
Comme un Roméo perdant sa Juliette, comme un chien de faïence, un Apollon à qui l’on dit Non.
Un bel ami soumis à vos lois et humeurs. Jean de Nivelle qui pleure votre cœur, le bonheur d’obtenir vos faveurs.
Dans un tourbillon sensuel et mystique, la magie pleine de grâce au céleste éternel où Hathor
Nous reçoit avec joies dans ses bras pour célébrer le mariage de l’amour et de la musique, sans trahir le mélange de nos cœurs, pour toujours.
Quand le soleil s’effondre sur le bord de tes yeux
Un rayon lumineux brillant de mille feux sèche mais larmes de joies. Quand ta bouche pulpeuse et piquante baise ma bouche, c’est comme un ouragan douceur orange, qui me transporte aux portes du soleil levant.
Quand l’écharpe d’Iris se présente à moi en toute beauté, c’est comme si ce divin paysage
S’adressait directement à moi.
Mon âme matinale chagrineuse s’efface devant les couleurs majestueuse, prodigieuse dans l’absolu,
Incroyables et rayonnantes, ses lumières qui tapisse toute mon âme d’une joie bien heureuse.
L’impression que mon aura se réveille, sous la grâce de cette mythique Iris.
Du bout des yeux je caresse ses ailes d’or, je m’assois juste au bord de l’étang,
Tête baissée je songe encore aux quelque minutes où j’ai vu le plus beau ciel matinal, d’un magistral
Jamais vu de mon existence, j’ai cru voir, puis toucher Iris dans mon être en réel.
C’est l’histoire d’une reine, c’est l’histoire de la beauté.
Rien n’est illusoire dans ton regard ange ou démon.
Mon aura reste provisoire, mes prières reste dérisoires, quand le soir tes yeux
Et ton sourire alimente l’abreuvoir de tous mes espoirs, rien que pour boire l’eau magique de ton âme, rien que pour croire en tes déboires, un horizon où tes baisers caressent dans le noir mes lèvres frémissantes.
Ta bouche amoureuse réanime tous mes devoirs, réanime la lumière dans ce noir, puis dans ce long couloir d’étoile si radieuses, l’amour parsemée de fleurs si radieuses, si mystérieuse, c’est toi et moi
Dans le ciel de la nuit amoureuse.
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Mon humeur joyeuse,
Mon amour pour mon amoureuse,
Mais baisers se sur ta bouche, toi langoureuse et envouteuse !
Mon âme et tes baisers, le panache des désirs inavoués.
Le beau Danube bleu qui coule dans tes yeux, me transporte dans les rêves lointains
Sur les océans merveilleux où les parfums de ta bouche résonnent jusqu’ au abysse du merveilleux.
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C’est l’hiver qui revient, c’est l’hiver qui caresse le doux et le frisson.
Le miroir de l’amour qui reflète ton visage réchauffe ce tranquille mois de décembre.
Ton corps et ton souffle, dévorant tes baisers, je me retrouve a frimer de liberté,
Nos ardeurs devant l’heure éternelle.
Le divin qui entoure cette flamme olympique, une odyssée fantastique.
Les songes d’Aphrodite dans les jours chimériques de nos vies.
Cette nuit un songe est venu me caresser dans les bras de Morphée, quand ce rêve heureux et mystérieux s’est laissé absorber tout doux et très joyeux dans les chimères bleues de mon âme intrépide.
Dans l’ombre de la sublime auréole de ton spectre, je crois apercevoir les prémices d’un bonheur oublié, l’avant-gout d’un amour qui n’a jamais existé, le romantique qui se pavane et s’agite de ses illusions amoureuses.
Le rêve unique d’une étincelle si vive et si magique, une flamme à sens unique, le départ d’un incendie involontaire.
Le béguin si soudain, qu’il vient ranimer les flammes du destin, ce béguin qui repart pour une étincelle au croisement d’un regard incertain mais certain d’avoir touché du bout des yeux,
Le céleste et divin ciel amoureux.
Les Etoiles si brillantes que je vois dans tes yeux, c’est cupidon qui se glisse dans les draps de Morphée.
L’escapade magique dans ce ciel romantique, c’est l’idylle féerique d’un songe inoubliable.
Bien plus qu’une amourette !
C’est le Dionysos implacable, qui nous ouvre les portes d’Aphrodite.
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Car je suis un arlequin,
Je ne bois que du vin
Si tel est mon destin
J’irais par quatre chemins
Casser la pipe aux copains
Les envoyer vers le divin
Et avec un peu de Levin
J’irais manger leurs pains
Et au bout d’un lustre, le lendemain
J’irai vers elle, demander sa main
Et quand elle me dira oui demain
Et que l’on nous applaudira à pleine main
Qu’on fera la fête comme des boute-en-train
Ce jour-là au soleil du matin, moi plaisantin
J’irais conter fleurette dans le jardin
Dans le jardin, j’irais rejoindre ma jacinthe
Elle me dira sans aucun chagrin qu’elle est enceinte
Moi je répondrai comme un chagrin que je suis un philistin
Je luis dirai que je ne suis qu’un arlequin
J’irai finir de boire dans la rue des capucins
Je ne suis qu’un arlequin doublé d’un assassin
Car j’étais le premier à truander ton parrain
Que le divin me pardonne, d’avoir mis du poison dans son vin
J’ai assassiné ton parrain pour pouvoir obtenir ta main
Je m’en remets aux forces du divin, car lui seul décidera de mon destin
Pardonne-moi ma jacinthe d’avoir semé le malin dans votre destin
Je ne suis pas digne d’être paternel devant l’éternel si divin
Je pars me souler avec entrain
Avec entrain, me noyer dans le Rhin
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Dans une ambiance bien heureuse
Je vous envoie mes baisers les plus osés
Paysage merveilleux de voir la prunelle de vos yeux, plus beau que les cieux
Si bleu et si radieux, des perles dans l’océan bleu ciel de mon enfance.
Mes veux amoureux souffle sur vos yeux si gracieux puis sur votre bouche, une gourmandise
Si exquise, si brulante d’érotisme pour une fantastique alcôve de magie, enrobé de câlines caresses poétiques.
Nos chaleurs qui se croisent dans ce tourbillon de secousses sismiques
Votre peau sur ma peau, fantastique mélodie dans le vent si câlin
Ce matin-là où ton cœur à envouté le mien, l’instant d’un éclair, un instant comme un navire qui chavire dans la tempête du siècle, loin très loin dans le large.
Les chagrins devenu si lointains,
J’ai hâte de retrouver Morphée allongé à tes pieds
Allongé dans les songes féeriques de Morphée.
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L’accordéon joyeux,
Qui dans tes yeux si précieux, joue la musique des amoureux.
La mélodie romantique des châteaux espagnols,
Le catalan tambour battant de nos amours d’antan,
La musique authentique de ton cœur sur le mien.
L’escapade palpitante, sur un air envoutant,
Soufflant l’amour chaud du tango Argentin entre nous.
Cette chanson cupidon pour toujours, Argentin sans chagrins,
Pour nous deux, nos regard langoureux, les yeux dans les yeux
Dans ce tango tourbillon, d’un air d’accordéon si joyeux, les étoiles dans tes yeux,
Pour me rendre amoureux.
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Quand s’abaisse tes yeux pour me dire laisse toi faire
Oui le soleil m’aveugle comme il veut, tes yeux
Mystérieux, envoutants comme les cieux, les flammes dans tes yeux
Réchauffe mon âme d’un feu sacré si radieux, que les grands feux du volcan
Qui en toi s’embrase dans le bouillant de la lave qui circule en toi.
Laisse tes doigts langoureux envouter mes sens, laisse tes baisers
Si précieux me toucher jusqu’ au creux de la rage qui s’enflamme en moi,
Laisse mes yeux deviner tes cieux, la flamme qui s’anime en moi palpite jusqu’en haut des cieux.
Vers l’infini de ma passion entre tes mains je nage à flot pour crier toutes nos joies libertines
Dans nos vapeurs si coquines, toi ma divine comédie, nos soupirs aux auspices d’aussi beaux
Artifices qui pour de vrai, le final flamboyant de ton corps si fort, si chaud.
Le mystère éternel de l’amour, C’est l’univers du divin qui nous entoure,
Ce merveilleux en extase anime nos caresses, je reviendrai demain caresser tes cheveux, caresser le soyeux de ta chevelure, ce vin si divin qu’il me tarde d’être demain pour te baiser la main.
Prendre le train pour l’alcôve que l’on se prépare à deux, si profond et si précieux.
Ce secret du tonnerre des dieux, qu’ils baissent leurs yeux, pour savourer dans leurs cieux
Nos liqueurs si charnelles, notre chaleur corporelle les emportent sur l’Everest.
Le sommet sensuel et éternel, le nirvana des souvenirs magiques remplient de tonnerres et d’éclairs
La lumière du passé amoureux, qui rappelle aux galops leurs amours de toujours
L’éternel souvenir des amours qui ne s’oublient pas, un passé qui frémit pour l’éternité.
Dans le céleste de la voie lactée et des étoiles lumineuses devant l’éternel.
« L’homme n’a aucune raison,
L’animal raisonne, l’homme est un animal,
Qui dans sa raison, raisonne le fait qu’il possède une raison »
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Le monde n’est que matière et matériel, la matière fabrique le matériel nécessaire pour détruire sa matière. il y a matière à faire la guerre, mais la matière ne dure qu’un cycle, et en matière de cycle c’est la matière qui juge, elle juge notre matière et décide de notre cycle.
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Je vous offre ce léger poème, ainsi que tout mon amour,
Qui comme l’océan ne désempli pas.
Plus je vous aime et plus je rêve,
Je rêve de voir votre dévolu m’offrir vos soyeux baisers,
Votre doux et charnel dévolu déposer la passion qui brule en vous,
Et si vos charmes me désarme, lui mon cœur vous bombarde.
Jour et nuit ne font qu’un, même dans le noir votre céleste lumière,
Réveille mon âme par ses étoiles qui scintille comme les rayons du soleil,
C’est dans le noir du désespoir, que vienne enfin le bel espoir de voir venir vos yeux,
Dans l’obscur brouillard tout vêtu de noir puis voir dare-dare votre sourire malicieux,
Éclairer vous yeux bleus si gracieux, quel visage merveilleux, au-delà de tous les cieux.
Sandro
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C’est dans tes yeux, envoutant et mystérieux, que l’on voit les grands feux du volcan qui s’embrase en toi.
Tes yeux s’abaissent pour me dire laisse toi faire, laisse mon massage langoureux, envoutant, envouter les cieux, vers l’infini je laisse mon destin entre tes mains pour me réveiller matin.
Entre tes mains tu
Laisse couler à flot toute nos joies libertines, nos soupirs aux heureux auspices d’une pie joyeuse, les auspices d’un si beau feu d’artifices nous motivent, moi hardi comme toujours, j’abandonne cette hardiesse maladroite devant
Le son de ta voix si douce, laisse trahir ta langue ostique, mélodieuse et envoutante
La chaleur corporelle, la liqueur de ta bouche si charnelle, remplie mon âme de tonnerres et d’éclairs amoureux, me rappelle aux galops tout l’amour du passé pas encore oublié, ce passé qui frémit pour l’éternité.
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De droite à gauche
De nos corps qui se frottent, c’est un parfum vainqueur qui enjolive notre soirée enflammée
Frappant nos deux cœurs notre chaleur qui grimpe au sommet des plus hautes voluptés.
Toi corseter dans cette douce étoffe tu dégrafe voluptueusement ce tissu magistralement de ton buste incroyablement flamboyant pur bonheur pour mes yeux et ta peau plus que céleste en milles étoiles de feux rien que pour mes yeux, mes baiser sur ta peau me procure
Mille parfums de vanille exotique cette symbiose au fruit de la passion en soupçon la fraicheur d’une sauvage orchidée descendue du divin paradis des iles aphrodisiaques ou les méduses aux yeux qui brillent comme les émeraudes antiques des civilisations aujourd’hui englouties, les reflets du soleil amoureux sur la mer bleue une armée de vénus venu assistée
Au défilé majestueux en fanfare de ces vents et câlins en musique enivrant le spectacle tout en feux de nos astres amoureux.
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C’est cette fleur qui pousse tous les jours le matin quand je croise ton regard, ce jardin qui pousse dans mon cœur quand tu embrasse ma chair, caresse ma peau et fait tourner mon sang,
Mais bon sang le sang qui coule dans mes veines, quand j’ai la veine moi le roi veinard
J’ai le pouvoir de faire baisser les paupières de ton regard merveilleux par mes baisers
Langoureux, heureux quand tes caresses charnelles brulent mon âme en je t’aime eternels
Toi mignonne et féroce comme une lionne avec la chaleur d’une tigresse en chasse
L’amour qui respire a cote de nous, la passion dévorante entre nous
Ce château de carte entre nous qui s’écroule quand le jeu de l’amour passe son tour
Mais le jour qui passe lui aussi passe son tour mais c’est autour de mon cou ou tu es de retour sur ma bouche pour que suivent les cartes de l’amour a leur tour ravigote le bestial entre nous, ta chasse a cour vaut tous les détours, c’est moi seul vautour qui dérobe ton amour, oui des cendres restante du château apparais l’étincelle éclatante aux lumières envoutante ou émane la naissance merveilleuse d’une reine amoureuse, comblera
Mon amour pour toujours, moi vautour devenu le seul roi de ton amour, le parfum de l’amour pour toujours.
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Doucement le soleil s’éloigne de notre horizon, pour laisser entrer les nuages dans un ciel rouge de feux, soudainement ton regard de femme et de déesse, un visage en toute grâce très souriant se dévoile comme par magie et tes beaux yeux qui brillent comme un feu follet aux habits de la beauté, dépasse le parfait pour l’éternité.
Feu Follet, à mes pieds, c’est le charme qui opère, éclatant de tous ses artifices, pour devenir Aphrodite charmeuse, une heureuse vision qui me procure toute la force pour t’emmener dans mes bras, puis braver la frontière du cimetière de l’enfer et au plus vite déguerpir cette nuit de la cruauté de ce sombre paysage, qui se dissipe pour toujours.
Notre amour pour toujours, le bonheur est trop court.
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Tes yeux majestueux, prunelles aux couleurs de l’océan, je n’ose à peine les fixer longuement, oui des flammes si rouges du feux des désirs qui s’enflamme pour moi, je touche du bout des doigts
Ce nuage en orage, le tonnerre du céleste Cupidon amoureux
Même Éros ce héros est reparti au galop sur un cheval de feux, il me reste quant à moi, de redoubler d’effort et de courage pour oser venir gouter ton breuvage, ce nectar amoureux de mille feux,
Savourer la magie et consumer ton magma aux mille caresses si frêles et délicates.
Refroidir toute la nuit l’incendie qui résiste de ton corps rayonnant rouge encore.
Ce brasier que j’avais rallumé rien que pour tes baisers.
Le brasier de l’amour qui brule toujours.
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Doucereusement, le vent caresse notre air ambiant pour nous envoyer le zéphyr
Qui nous transportera royalement au sommet de cette montagne,
« La Grande Salace »
À chaque promenade en montagne, mille et une escapades vous attrapent comme un rêve vous embrasse, un songe dont la salacité vous parfume en extase ce langoureux sommeil si merveilleux
Pour vous montrer à quel point l’air coquin du grand sommet soulève et entraine les plaisirs, pour se griser de centaines de baisers où notre étreinte explosive, notre splendide enchantement nous
Amène radieusement dans nos rêves idylliques.
Magiquement assoupli dans ce mythe angélique.
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Comme le chat qui montre sa langue, moi je tire ma langue et je donne ma langue au chat
Quand tu poses tes petites pattes frêles et délicates sur le creux de mon ventre
J’inspire doucement, quand ta bouche souffle le chaud et le froid sur mon cou puis sur ma nuque
J’inspire de plus en plus fort pour t’attraper te cajoler, je m’agrippe et sort les griffes pour te dévêtir en soufflant le chaud sur ton dos, tu retourne le bas de ton dos face à moi, tes ronrons n’en finisse plus ,ce miaulement malicieux que tu m’envoi sous mes yeux réveille le chaud brulant qui bouillonne en moi sous les draps je glisse sur la soie vers toi où commence en fanfare nos ébats sur la magie toute câlines de tes babines qui salives vers plus de supplices aux délices pour toi et moi sans draps de soie, je culmine avec majesté ma douce rage, ma féroce ardeur pour refroidir ton élan et capturé ton cœur, en douceur tu t’incline sous ma fureur et sans douleur de cette douceur escapade
Je reviendrai avec ma sérénade sans armes et sans grenades sur ton territoire et sur ton estrade retenter nos escapades sur l’éternel chant de l’amour, la sérénade du printemps qui nous attend.
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Mes mots en alphabet tout entier glisse sur toi en vers luisants
Pour t’embrasser avec rimes et alexandrins, dans ce train de nuit mes proses et syllabes
Pour déshabiller la chaleur de ton ardeur, cette grammaire créatrice qui habille les paroles divines
Des baisers que ta bouche merveilleuse dépose sur mes lèvres.
Fugueuse comme une lionne qui capture sa proie, l’animal tout en rage comme toi.
Comme moi qui nage en douceur et sans fond, je m’enfonce dans les magnifiques abysses de cette divine poésie.
Sans la moindre morale,
Brulant de ton âme pervertie,
Ton âme diabolique eu merci,
Des caresses satyres libertines,
Sans la moindre morale charnelle,
Toi coquine libertine le mal ardent,
Je reste libre au moindre vent,
Je reste soumis au mal du temps,
Sans la moindre morale,
Toi diablesse flamboyante en ce royaume,
Sans la moindre morale de notre temps,
Ce surnaturel en toi conditionne mon existence,
Le don inconditionnel de mon âme pour toi,
Sans la moindre morale encore une fois,
Ton cortex cérébral à mis les feux à la morale,
Ton cortex cérébral à mis le branle-bas cette fois,
Le branle-bas à ma caserne cérébrale,
Sans la moindre morale pour la dernière fois,
Le temps de respirer, le temps de trois mouvements,
Je reste suspendu à tes lèvres si belles, sans morales,
Sans la moindre morale suspendue à tes lèvres,
A tes lèvres si douces jusqu’au au lever de l’aurore,
Lever de l’aurore encore innocent, l’auréole de la nuit qui ‘s’endort.
Aux abysses de la volonté
J’offre un baiser aux supplices de tes voluptés
Sous ton charmant cartel érotique j’attise ta fibre exotique
Dans ce goulag flammes de la passion je perds ma raison sous ta fougue trépidante
Qui m’embrase dans ta rage infernale, ta folie corps à corps, escapade dans mes bras
Bouche sanguinaire deviens en un éclair un orage salutaire pour qu’un arc en ciel
Extraordinaire vienne déposer sur nos chairs ce drap sensuel et soyeux pour nous
Refroidir des ardeurs hautes en chaleur, ce temps
Qui nous emporte pour ne plus jamais
Rencontrer des matins tout chagrins.
Ce temps qui amène boire le thé de la sensualité, le thé de l’amour, la tasse de thé pour toi ma bien aimé.
Le diable jaloux de nous ricane derrière l’abat jour qui cache le jour et les rayons du soleil.
Cette lune pleine me suffit a peine pour voir le fond bleu merveilleux de tes yeux.De nos amours à nos ébats , cette nuit cupidon s’est enfui , c’est le diable qui anime et habille notre nuit.Athéna qui s’enflamme et Pandore qui s’Endort Dans l’océan de l’enfer je descend Ma sirène tu n’es que chimères tu n’es que cimetières à mes yeux,Sous l’aura d’un câlin douceur cupidon de son chant d’amour je crois entendre encore ta douce voix d’autrefois, où par miracle je Fus Ébloui par le plus majestueux des arc-en-ciel.Ce grand pan aux yeux rouges, qui nous guette et nous pique comme les guêpes, ce voyage entre nous si doux est devenu si flou qu’on S’en trouvent amnésique de nos doux mots d’amours, ce grand Loup Tout habillé de rouge à voler ce printemps qui bercer notre amour.De rage mon amour.Cupidon, mon amour de ta bouche je savoure de tes lèvres sur Les Miennes, je déguste le nectar de tes jours, je savoure ton Amour Sur mes jours, sur mes nuits je récolte le fruit de ton corps,Cette nuit je révise mes forces, je m’emporte sans raisons dans Tes Secousses si douces, le diable jaloux de nous qu’il grimace de sa frimousse derrière l’abat-jour. Ce diable divin de lui, esquisse notre idylle de toute son ampleur maléfique de son perspicace regard rouge sang qu’il bave de notre bonheur que cette pleine lune en pleur de n’être si peu heureuse, devant nous mi-nu nous deux mi-vêtus sous un firmament vagabond devant notre larcin érotique, notre amour scandaleux devant ce diable nocturne et taciturne, qu’il n’ose plus être si hardi a vouloir tamiser de son poison venin cette nuit où je ne contrôle qu’à demi-voix, à demi force la splendeur et la sculpture de ton corps, ma diablesse aux nobles formes que ton céleste d’un bois brute jamais vu dans toute la nature que ce monde possède, de ton salut je m’inspire de ton buste et du reste pour une escapade fantastique, une évasion fantasmagorique unique, une Odyssée maléfique et destructrice du splendide qui nous bercent, le moment magique et unique, l’intemporel explosion de ton astre sur mon âme, la fusion de tes petits cris, de ta suave résonance rien que pour moi, la nuit n’en vois plus les jours, ces temps et ces cris de la nature rien que pour nous,le diable au poil rouge reparti pour nous maudire, qu’il nous reste du répit qu’il nous accorde de pleins droits cette nuit de plaisir au creux de ce vent impétueux qui caresse nos cheveux, de ces nuages doux habillé de feux, le temps encore clément nous accordent son tempérament, pour que l’on reste encore les amants témoins présents de ces instants bouleversants du mystère immense que les anges et les démons divins nous accordent, ces moments d’ivresses rien que pour toi et moi.
J’ai volé vos yeux en un instant record, un instant éclair, un blanc éternel, le bleu de mon enfance.
Toi ma sauvage au creux de mon âme qui tressaille où je respire le vide, dans ces feux follets souvenirs
J’en oubli nos adieux, ces pieux souvenirs devant notre monde si grotesque, la mort n’a nulle besoin d’horloge, les étoiles aligné comme les araignées sur leurs toile disgracieuse.
Que ton astre même en rage vienne embrasser mes illusions, pour que la lune rougisse de nos dernières embrassades, toi mon orage pour la dernière fois de tes grand bras tu libère mon esclavages et dans les vagues du dernier torrent d’amour, une goute à la fois par la douceur
D’un monde inconnu, ma mémoire s’estompe lentement vers l’obscurité terrible et tragique de l’oubli
L’oubli qui brille et qui brule, l’amnésie fatale et infernale, ma mémoire se glisse goute par goute vers le néant, le néant que je n’attendais pas, le néant bien présent que l’on ne voit pas, le néant est là, le néant est passé et moi, le néant ne ma pas oublié.
Perfection n’est pas ton nom, tu nomme un monde sans cortex, ta faiblesse se manifeste.
Ton nom n’est qu’inquiétudes stupéfiantes tu annonce te prénommer Jupiter mais la flagrance
Prouve le contraire, prénomme-toi sur le champ !
A l’instant ton nom est acclamé, imminent tu murmure ton véritable nom, Baltasar
Comme par hasard tu annonce comme le blizzard tes murmures dans le brouillard
Quel tintamarre pour un si petit bazar, Baltasar repars dans le hasard, retourne à tes chiens de gardes
Baltasar repart et prend garde ! Si tu reviens, Baltasar ton chez toi c’est nulle part, si tu reviens
Prend garde au fond du puisard, car de ma colère si fière et si brève je volcaniserai ton spectre
Si mécréant ainsi soit t’il, au revoir Baltasar, ne reste de ton sombre aura qu’un souvenir volatile
De ton astre en nuage allégé qui s’évapore devant moi comme un mirage sans noms et sans visages.
Un souvenir invisible, une pensée oubliée, un rien de néant vagabond qui n’est plus présent.
Un blanc insensible, au néant qui m’entoure.
Mon hirondelle en fleur, Ouvre-moi ton grand cœur, ouvre moi ta chaleur, offre moi ton ardeur
En ce feu qui brille, en tes yeux si fort et si doux, ta bouche charnelle plus belle que la reine des lumières qui illumine ton si beau visage, éclairci mes ténèbres et mon âme.
Tes lèvres si belles aux parfums divins et subtils ce parfum de mille Feurs au bouquet de printemps, aux senteurs douces et raffinées des îles marquise, des îles, fleurs du désert, du soleil de printemps. Où bourgeonne encore le nectar ambitieux de ta bouche merveilleuse.
Tes lèvres sur les miennes ouvrent en moi mille ardeurs, un sentiment irréel et magique, au sommet de mes frissons mes idées deviennent polissonnes, le grand frisson dans la cage du lion, mille frissons en rugissement rien que pour toi ma lionne.
Nous deux enlacer sous ce nouveau jour ma friponne, ce nouveau temps de grâce je découvre l’instant magique, l’instant qui découle du fruit de nos passions, l’air et l’instant propice ou je respire autrement.
Ce jour nouveau me fait signe de saisir en plein vol, de ma force subtiliser ces moments nouveaux si romantiques.
Ce coup d’état, ces coups de grâces, je m’envole sans bagage pour ce long trajet que notre
Céleste propose, le destin à mes yeux, le divin instant sous mes yeux, le grand moment que nos auras aspirent depuis longtemps, nos aspirations à jamais réunis dans cette nouvelle histoire.
Un départ cousu main sur ce chariot de feu, nos deux cœurs encore tout chaud, nos âmes pour les feux et les flammes de la passion.
A jamais, pour toujours dans ce feu de joie, la jouvence éternelle qui abreuve nos joies.
Pour toujours nos amours sur l’olympe de l’amour et du sang, le pégase des victoires éternelles et sans fin.
Ces perles rares, nulles autres prunelles si belles dans ce monde, nul pareil n’a tes yeux, ces bijoux uniques et merveilleux.
Tes yeux, joaillerie inestimable dans ce monde bien plat, ces bijoux sans nul doute, merveille de tout les temps, merveilles intemporelles.
Toi l’hirondelle, toi Atiza celle qui m’ouvre les portes de l’éternité, les portes divines de l’amour, le château de la chair et de l’amour, Atiza c’est moi ! Atiza je t’aime !
Mon hirondelle en plein cœur, mon hirondelle de toujours
Mon hirondelle éternelle, Je t’aime !
l’Élixir, la Bombe et le Tango
le Tango Argentin, cette mélodie italienne
Mon élixir, la sirène de la gloire.
La Jeanne d’arc de la Gaule,
la sirène de la France , nos camarades du chand d’honneur,
honneur et élixir
honneur des batailles d’autrefois.
l’élixir, la victoire nous appelle
honneur, la sirène nous protège
la bombe et le tango
la mélodie de la mort, la mélodie de la plume, la sirène des vie perdue pour le monde et notre pays
la mélodie de la vie, la musique des âmes perdues
je m’en remet au vent et au silence des plus jeunes et des morts.
pour cette journée qui perdure depuis des siècles, qui reste le plus beau jours des français.
l’élixir et la bombe
la bombe et le tango
la guerre perdure, la paix résiste.
le silence est incertain, le danger invisible.
les guerres d’autrefois nous servent de leçons pour l’histoire d’aujourd’hui, pour l’histoire de demain
tous ensemble tout un ensemble qui nous ressemble
la France c’est notre élixir
la France cette chanson
la France cette mélodie
la France cette mélodie pour toujours et jamais.
Sandro.
Judas ce soleil, ce soleil un matin de l’été ce judas me brula les yeux sur la peau.
Elle cette âme dans un corps d’abeille, la beauté du diable aux longs cheveux blonds,
Aux yeux bleus et soyeux plus bleu que l’océan de mon cœur amoureux.
Cette pluie qui jadis s’arrêta devant ce diable de judas, ce soleil depuis trois cents jours
Nous couvrent les étoffes brulantes à fleurs de peau, sur nos carcasses encore en chair,
Nos os qui réclament encore les blés, le cochon et la dinde, le gibier n’est plus là,
Les chevreaux endormis pour jamais.
Judas ne porte tu là les habits et les masques de la voluptés, ne te déguise pas en femme pour nous attraper !
Hô judas libère ce soleil de tes bras, relâche ce soleil
Libère nous sur le champ du chaud et du brulant.
Judas à tes pas, judas sur tes pieds je supplie, je m’incline à pleine âme !
Judas ramène nous le froid, l’eau et ses cascades
Le soleil n’et pas judas sans raison, une semaine de plus et je ne serais plus là.
Par pitié pour nous et pour tous, devant toi judas, devant toi soleil, je respire qu’à demi
Je parle à demi-voix, mais de toute mon âme pour toi si tu veux judas ! Laisse le soleil repartir sans rougir, Judas de tes forces magiques, intemporelles laissé tolérer de pleins droits
Respirer notre air avec joie.
Libère nous Judas ! Libère toi !
Pour mon dernier repas !
Pour mon dernier repas, je désire en guise de crudités déguster le chaud et froid de tes baisers.
Pour mon dernier voyage je désire à tes coté rejoindre la marine pour traverser du creux de tes reins
Ton corps puis remonté à la surface de tes seins pour recevoir tes soyeux baisers au firmament de tes yeux.
Et pour dernière plaisanterie en rupin rural dans ma caverne esprit runique, j’attiserai ce feu de bois qui brule pour toi, en toute générosité avec mon grade d’Amiral, je réinventerai la genèse du dieu créateur pour qu’on fond de tes entrailles où je me prélasse avec toi, où je chante l’hymne de l’amour, je chante avec ardeur les louange de ton hymen, hyménée nous salut avec joie
Nul besoin d’hydromel avec moi, rien que le miel liquide de ta vertu me tue, me donne l’ivresse
De nos êtres, cette plaisanterie si réelle me laisse pousser des ailes, mes bras dans tes bras où je
M’endors pour rejoindre la Morphée aux parfums si divins, un parfum aux milles fleurs
Sous la douceur de tes doigts, sous la grâce de tes joies, la douceur de ta bouche sous le rythme mélodique de ton cœur amoureux, amoureuse ma douceur.
Cette samba pour sang chaud, cette samba pour sang froid, samba et escapade sans voix.
Promenade des cœurs d’autrefois, promenade qui nous porte jusqu’au bout de la noyade.
Dans ces couloirs noir de sang, de ces démons tout blanc, si bien vêtu de blanc et de printemps qu’il Nous peste comme des enfants, qu’il nous reste cette honte d’avant notre rencontre.
D’avoir voulu traverser ce grand vent ensemble sans se faire attraper, sans se faire prendre dans
Le grand mal, le magma géant du diable et de ses hotes, pour ce grand repas autour de cette grande table, ce repas festin rempli de venins.
Mes souvenirs au bénitier de notre église, magistralement je perds ma magnanimité rien que pour
Tes baisers, le vignoble de la romance et le nectar des amoureux s’éloigne peu à peu de nos cieux.
Ces requins aux yeux du mal et du néant, les yeux insondable du diable, des yeux de flammes, des yeux de l’enfer et du mal, si Lucifer est encore sur terre, il reste les temps et les instants et l’infini pour se préparer à la guerre , la guerre de chaque moments, de chaque malheurs et de chaque bonheurs à arriver .
Le Casus Belli imminent j’avance vers cet affrontement, la fin du grand repas étant proche
Je me lève et prononce « mes chers convives écoutez moi, écoutez ma requête, Eve ma conquête de toujours et de tout les temps est endiablé par l’un de vous, je suis fin prêt à le défier avant minuit aujourd’hui, je suis assez alerte pour délivrer ma belle et rien ni changera ! »
En un claquement d’orage et de tonnerre, la belle Eve arriva et elle avança avec toute sa grâce vers moi, me pris dans ses bras, de ses bras frêle elle me serra fortement puis m’embrassa, dans ses bras ma tète tourna et mes jambes mollement flétrissais pour que je puisse tomber aux pieds de ma dulcinée, au réveil de milles baisers ma beauté m’a comblé et j’espère à jamais pour l’éternité.
Ce moi de mai où je me permet d’apprivoiser le spectacle de ta beauté
je tente tant bien que mal départir ma faiblesse et mon engouement devant ta prestance.
en correctionnel je suis, d’un simple sourire, si belle de toi à moi ma peine est si pleine
en correctionnel pour l’éternité rien que pour tes baisers.
Corseté dans cette étoffe qui brille d’avantage que l’or et l’argent, ce tissu soyeux
ce linge de toute grâce ébloui ma vision, aveuglé je n’ose prononcer des mots,
d’un merci avec hâte ma stupeur amoindri le moindre son de ma voix,
moi doryphore je n’ose creuser le tunnel de conjecture qui m’anime, n’ose imaginer un quelconque labyrinthite de bontés pour te rejoindre, pour conquérir en héros ta beauté majestueuse et rieuse.
Le cerisier fleuri mais les cerises ne tombe plus, ma récolte à bout de souffle m’a permis de couvrir
mon hiver, le printemps revenu j’ai perdu mon devoir dans les déboires des heures perdues pour
te revoir, et te revoilà.
Un brainstorming en effervescence ce nid par là, cette resserve en moi sans idées deviendra
à coup sur un fleuve menu méninges qui de toi à moi comme abreuvoir nous montrera les couloirs sublimes de nos trajectoires l’amour pure éternel autour de notre feux charnel
et éternel, l’ultime feux étincelant de nos passion comme aveux de nos cieux infinis pour la vie.
La planète tourne à l’envers
Les décors à l’endroit tu me fais tourner la tête à l’envers
Quand ton beau buste et ses lolos dessinent ton pullover
J’ai mon sang qui tourne à l’envers, à l’endroit précis de ta bouche en feux
A l’endroit mes baisers langoureux caresse tes cheveux à l’ endroit tout tourne à l’envers
Quand je déshabille ton corsage jusqu’au bas de tes cuisses c’est magique, je relève mon ardeur à l’envers contre toi je dégage ma chaleur et mon joug décent de travers vers l’envers de
L’enfer qui bouillonne tout comme moi si peu fier, ma friponne de ton corps si céleste, le
Merveilleux continent parsemé de pétales d’orchidées, odorantes aux parfums de ta bouche, de tes seins c’est le monde à l’envers, dans mon dernier verre je savoure ta frimousse, si douce ma promise tu souris, je pars ma beauté à tes pieds, prendre le dernier train pour Morphée.
Mes acrimonies
Depuis des décennies me démange jusqu’au chevilles
Je suis ébaubi de voir du mardi au jeudi ce cercle d’abrutis
Des lanternes jusqu’à l’infini pour lanterner mon quotidien
Une atmosphère arêteuse du jeudi au lundi mes voisin malvenus
Si je pouvais étranger ces tracassiers en puissance le dimanche en retroussant mes manches sans malaisances c’est au fin fond de la manche que j’irais engloutir ce funeste horizon que m’a fourni la providence, mon voisin c’est avec un immense engouement que je suis heureux d’apprendre
D’en avoir fini avec vos existences dénouées de tous sens, sans diligences ce dimanche je retrouve enfin un sens, une espérance, celle de voir revenir vers moi l’insouciance de jours meilleurs.
Mes voisins sous la manche, mes voisins du dimanche, Bon dimanche.