Tu as perdu ta langue. Sur ta bouche brule le feu du rasoir encore innocent. De ton cœur ton âme sonde comme un requin le fond de mon âme. Dure sera ma chute, l’appétit féroce en toi aura raison de mon astre. Comme une arête dans ta bouche, mon souvenir amer. Dans la mer où j’arrête telle une sauterelle de vibrer dans ma chair.
Le chien regarde le ciel qui saigne. Des larmes rouges de nuages sanglants nous regardent méchamment. Une pluie de sang descend lentement comme un petit ruisseau qui Coule dans nos gorges, nos cris résonnent dans nos poumons. Qui doucement se noient tels un courant d’air innocent réparti dans le souffle du vent.
Cette vague de chaleur qui tressaille sur le bas de ton ventre Tes doigts qui grattent le frisson sur mon dos C’est comme un glaçon qui flotte sur l’eau de ta bouche pimpante, soufflant les vagues En fracas sur les rochers.
Majesté Pénélope, plus belle qu’Aphrodite et Vénus à la fois !
Sandro
La pulpe sucrée de tes baisers caresse mon âme par le parfum de ta beauté, ta bouche en feux donne le frisson sur mon cœur et mon corps, tes yeux sont des étoiles magiques aux couleurs du ciel bleu, mes désirs inavoués se plongent dans l’océan bleu azur de tes murmures, dans l’aurore qui s’éveille sur mon corps.
« L’homme est le seul animal à se soumettre à des phénomènes, qui n’existent pas. »